اقتباس
اقتباس المشاركة الأصلية كتبت بواسطة أقوى جند الله مشاهدة المشاركة
حاشى لله تبارك وتعالى أن يكون ظالما للشبيه .. لأن الشبيه فدى المسيح عليه السلام اختيارا منه لا كرها كما سبق في الأثر الصحيح

أما (الشك) في شخص المصلوب هل هو المسيح عليه السلام أم الشبيه؟ فالشك هنا وقع من قبل النصارى ولم يصح أنه من قبل اليهود ..

أما حسب النص الذي ترجمته أنت من أن المسيح رفع من على الصليب ثم أتى اليهود والرومان بجثة ميت ليخدعوا الناس .. فهذه مزاعم النصارى التي لا يقر اليهود بها حول أسطورة صلب المسيح والرفع .. وهذه مزاعم باطلة ينسفها نص قرآني وأثر صحيح ..

وحسب معتقد الصليبيين نسألهم:

فمن رفع الرب يسوع وهو ميت على الصليب؟

ومن قبض روح الرب يسوع ثم ردها؟

وهل الرب له روح؟

ومن أحيا الرب يسوع بعد موته؟

ومن كان يدبر أمر العالم أثناء موت الرب يسوع؟

وإذا كان الآب قد ضحى بولده ألم يقدر على أن يفديه كما فدى الذبيح إبن إبراهيم عليهما السلام؟

قال تعالى: (وَقَوْلِهِمْ إِنَّا قَتَلْنَا الْمَسِيحَ عِيسَى ابْنَ مَرْيَمَ رَسُولَ اللّهِ وَمَا قَتَلُوهُ وَمَا صَلَبُوهُ وَلَـكِن شُبِّهَ لَهُمْ وَإِنَّ الَّذِينَ اخْتَلَفُواْ فِيهِ لَفِي شَكٍّ مِّنْهُ مَا لَهُم بِهِ مِنْ عِلْمٍ إِلاَّ اتِّبَاعَ الظَّنِّ وَمَا قَتَلُوهُ يَقِينًا * بَل رَّفَعَهُ اللّهُ إِلَيْهِ وَكَانَ اللّهُ عَزِيزًا حَكِيمًا) [النساء: 157، 158]

فالآية الكريمة مقسمة إلى عدة مسائل مختلفة لا يصح إجمالها كلها في مسألة واحدة

المسألة الأولى: زعم اليهود أنهم قتلوا المسيح عليه السلام (وَقَوْلِهِمْ إِنَّا قَتَلْنَا الْمَسِيحَ عِيسَى ابْنَ مَرْيَمَ رَسُولَ اللّهِ) فهذا هو زعم اليهود يقرون فيه بأنهم قتلوا المسيح عليه السلام ولا يشكون في هذا

فقولهم (إِنَّا قَتَلْنَا) يثبت أن اليهود يتباهون بأنهم قتلوه في عملية مستقلة عن الصلب .. وليس كزعم النصارى أنه قتل بعد أن صلب .. لذلك لم يقل اليهود (إنا صلبنا) .. مما يدل على أن عملية القتل كانت مرحلة مستقلة تماما عن مرحلة صلب الجثة .. فاليهود يقرون بقتلهم شخص المسيح عليه السلام أي لم يرد إلى ذهنهم مطلقا فكرة إلقاء الشبه

المسألة الثانية: يرد الله تعالى على اليهود منكرا زعمهم بأنهم قتلوا شخص المسيح عليه السلام فقال: (وَمَا قَتَلُوهُ وَمَا صَلَبُوهُ) .. ثم بين تعالى حقيقة ما التبس على اليهود من مسألة الشبه .. فاستدرك مبينا حقيقة إلقاء الشبه فقال: (وَلَـكِن شُبِّهَ لَهُمْ) أي أنهم قتلوا الشبيه لا المسيح عليه السلام

المسألة الثالثة: (وَإِنَّ الَّذِينَ اخْتَلَفُواْ فِيهِ لَفِي شَكٍّ مِّنْهُ مَا لَهُم بِهِ مِنْ عِلْمٍ إِلاَّ اتِّبَاعَ الظَّنِّ وَمَا قَتَلُوهُ يَقِينًا) هذا الجزء من الآية بدأ (بواو) الإضافة مما يدل على أن الزعم بأنهم قتلوا المسيح عليه السلام هو قول اليهود .. وما بعد واو الإضافة قول عائد على النصارى لا على اليهود (وَإِنَّ الَّذِينَ اخْتَلَفُواْ فِيهِ) أي اختلفوا في شخص من صلب هل هو المسيح عليه السلام أم الشبيه؟ ثم حسم الله الخلاف في مسألتين هما نفي القتل وإثبات الرفع فقال: (وَمَا قَتَلُوهُ يَقِينًا * بَل رَّفَعَهُ اللّهُ إِلَيْهِ)

والذي يثبت اختلاف النصارى لا اليهود هو ما ورد في الأثر الصحيح حيث قال المسيح عليه السلام: (إن منكم من يكفر بي اثنتي عشرة مرة بعد أن آمن بي) .. فهم كانوا يعلمون بإلقاء الشبه .. ورفع المسيح قبل القبض عليه .. ولكن منهم من ارتد عن دين الله فحدث الاختلاف بينهم .. فأخذوا باتباع الظن لقول ابن عباس (وكفر به بعضهم اثنتي عشرة مرة بعد أن آمن به وافترقوا ثلاث فرق فقالت طائفة: كان الله فينا ما شاء ثم صعد إلى السماء وهؤلاء اليعقوبية. وقالت فرقة: كان فينا ابن الله ما شاء ثم رفعه الله إليه وهؤلاء النسطورية. وقالت فرقة: كان فينا عبد الله ورسوله ما شاء الله ثم رفعه الله إليه وهؤلاء المسلمون، فتظاهرت الكافرتان على المسلمة فقتلوها، فلم يزل الإسلام طامسا حتى بعث الله محمدا صلى الله عليه وسلم).
لم أقل بأن المسيح رفع من فوق الصليب٠ أين قلت هذا؟
الَيهود كذبوا لما قالوا إِنَّا قَتَلْنَا الْمَسِيحَ عِيسَى ابْنَ مَرْيَمَ رَسُولَ اللّهِ حتى يبينوا بأن عيسى ابن مريم ليس هو المسيح و بما أن فكرة الصلب و الفداء كانت موجودة قبل المسيح و في عهد المسيح في الديانة الوثنية الرومانية إلتجأ إلى فكرة الصلب الفداء بعض أتباع المسيح للرد على اليهود بأنهم فعلوا عمل الشيطان ليؤولوا أحد كلام المسيح٠
و إليك بالفرنسي ما تقلوله إحدى المخطوطات المكتشفة حديثا:

ce jour, les dernières trouvailles archéologiques notamment les manuscrits retrouvés à nagaa Hammadi ont permis de prouver qu'un grand nombre des premiers chrétiens ne croyaient guerre en la crucifixion de jésus christ et avaient la même croyance affirmée parle coran : « QUE CE FUT UN FAUX SEMBLANT » , cs manuscrits sont un ensemble remarquablement représentatif de la toute première littérature chrétienne, ils n'ont été l'objet d'aucun remaniement depuis la date de leur rédaction .


Les actes de Jean .

Libellé : Les actes de Jean .
Date estimée : 150-200 A J.
langue originale : grec .
source en ligne : http://www.earlychristianwritings.co...actsjohn.html( anglais).

Extraits:
"Discours de Jean : le Christ lui révèle la croix de lumière et son mystère
97. Bien-aimés, après que le Seigneur eut accompli cette danse, il sortit avec nous. Et nous, comme victimes de l'égarement ou du sommeil, nous prîmes la fuite, chacun de son côté. Pour moi, quand je le vis souffrir, je n'assistai pas non plus à sa souffrance, mais je m'enfuis sur le mont des Oliviers, en pleurant à cause de ce qui était arrivé. Lorsqu'il fut suspendu le vendredi à la sixième heure, il y eut des ténèbres sur toute la terre ; et mon Seigneur se tint au milieu de la grotte, il m'illumina et dit : Jean, pour la foule d'en bas, à Jérusalem, je suis crucifié, je suis piqué par des lances et des roseaux, je suis abreuvé de vinaigre et de fiel. Mais à toi je vais parler, et ce que je vais dire, écoute-le. C'est moi qui t'ai donné l'idée de monter sur cette montagne pour que tu écoutes ce qu'il faut qu'un disciple apprenne de son maître et un homme de son Dieu...(jésus continue)..ce n'est pas la croix de bois que tu vas voir quand tu seras descendu d'ici. Je ne suis pas non plus celui qui est sur la croix, moi que maintenant tu ne vois pas, mais dont tu entends seulement la voix. J'ai été considéré pour ce que je ne suis pas, n'étant pas ce que je suis pour la multitude ; bien plus, ce qu'ils diront à mon sujet est vil et indigne de moi. En effet, puisque le lieu du repos ne peut être ni vu ni décrit, à bien plus forte raison, moi qui suis le Seigneur de ce lieu, je ne pourrai être ni vu...(jésus continue)..101. Ainsi, je n'ai souffert aucune des souffrances qu'ils vont me prêter. Bien plus, cette souffrance que je t'ai montrée à toi et aux autres en dansant, je veux qu'elle soit appelée « mystère ». Car ce que tu es, tu le vois : je te l'ai montré. Mais ce que je suis, moi seul le sais, et personne d'autre. Ce qui m'est propre, laisse-m'en la possession, et ce qui t'est propre, vois-le à travers moi. Quant à voir ce que je suis en réalité, j'ai dit que ce n'était pas possible, à l'exception de ce que tu peux connaître comme parent. Tu entends dire que j'ai souffert, or je n'ai pas souffert ; que je n'ai pas souffert, or j'ai souffert ; que j'ai été transpercé, or je n'ai pas été frappé ; que j'ai été suspendu, or je n'ai pas été suspendu ; que du sang s'est écoulé de moi, or il ne s'en est pas écoulé. En un mot, ce que ces gens-là disent de moi, je ne l'ai pas subi ; et ce qu Ils ne disent pas, voilà ce que j'ai souffert. Ce dont il s'agit, je vais te le dire de façon voilée, car je sais que tu comprendras. Comprends-moi donc comme capture du Logos, transpercement du Logos, sang du Logos, blessure du Logos, pendaison du Logos, souffrance du Logos, clouage du Logos, mort du Logos. Et, après avoir fait une place à l'homme, je vais parler ainsi: en premier lieu, comprends donc le Logos ; ensuite, tu comprendras"



Deuxième traité du grand seth :




Date estimée : 100-200 A J.
langue originale : copte .
source en ligne : http://www.ftsr.ulaval.ca/bcnh/traductions/grseth.asp ( francais).
Extraits:


« Et j’étais dans la gueule des lions. Quant au plan qu’ils ont ourdi contre Moi en vue de la destruction de leur erreur et de leur déraison, je n’ai pas combattu contre eux comme ils en avaient délibéré. Au contraire, je n’étais nullement affligé. Ils m’ont châtié ceux-là, et je suis mort, non pas en réalité mais en apparence, car les outrages qu’ils m’infligeaient restaient loin de Moi. Je rejetai loin de Moi la honte et je ne faiblis pas devant ce qui m’a été infligé de leurs mains. J’allais succomber à la crainte.

Et Moi, j’ai <souffert> à leurs yeux et dans leur esprit, afin qu’ils ne trouvent jamais nulle parole à dire à ce sujet. En effet, cette mort qui est mienne et qu’il pensent être arrivée, <est arrivée> pour eux dans leur erreur et leur aveuglement, car ils ont cloué leur homme pour leur propre mort. Leurs pensées en effet ne me virent pas car ils étaient sourds et aveugles, mais en faisant cela, ils se condamnaient.

Ils m’ont vu, ils m’ont infligé un châtiment. C’était un autre, leur père. Celui qui buvait le fiel et le vinaigre, ce n’était pas Moi. Ils me flagellaient avec le roseau. C’était un autre, celui qui portait la croix sur son épaule,c’était Simon. C’était un autre qui recevait la couronne d’épines. Quant à Moi, je me réjouissais dans la hauteur, au-dessus de tout le domaine qui appartient aux archontes et au-dessus de la semence de leur erreur, de leur vaine gloire et je me moquais de leur ignorance. Et j’ai réduit toutes leurs puissances en esclavage. En effet, lorsque je descendis, nul ne me vit car je me transformais, échangeant une apparence pour une autre et, grâce à cela, lorsque j’étais à leurs portes, je prenais leur apparence. En effet, je les traversai facilement et je voyais les lieux, et je n’éprouvai ni peur ni honte, car j’étais immaculé. Et je leur parlais, me mêlant à eux par l’intermédiaire des miens, et foulant aux pieds leur dureté ainsi que leur jalousie et éteignant leur flamme. Tout cela, je le faisais par ma volonté, afin d’accomplir ce que je voulais dans la volonté du Père d’en haut. »